Développement artistique D. WEX Music

Définir son objectif ?

Comment définir clairement son objectif pour la nouvelle année ?

Quels sont les 10 critères à prendre en compte pour s’assurer que son objectif est tenable et entretenir sa quête tout au long de l’année ?

A chaque nouvelle année, tout le monde cherche la ou les bonnes résolutions pour repartir du bon pied sur un nouveau projet, mais personne ne fait vraiment preuve de méthode en la matière. Mais, par cette savante introduction, vous avez compris que j’ai mon idée sur le sujet.

Voici mes 10 critères pour améliorer la définition de vos objectifs et améliorer votre vie pour que cette année soit la vôtre en particulier.

I. Préambule : on obtient ce qu’on mérite

Vous le savez, pas de faux-semblant avec moi, je ne peux donc pas vous souhaiter la santé (gnagnagna…) et autre platitude pour une nouvelle année. Je vous souhaite… ce que vous méritez ! Souvenez-vous, il y a un an je me positionnais sur le créneau du mérite. Je reste raccord cette année.

Et je me dis que, si vous avez bien bossé sur votre objectif durant 2020, que vous êtes resté focus sur celui-ci et que, vous avez mis toute votre énergie positive dans son atteinte, alors 2021, n’en déplaise au COVID, sera votre année. Je vous renvoie d’ailleurs sur le post « comment rester motivé toute l’année ? » et ses 7 étapes clés. Pour la vidéo c’était là.

Pour vous border encore plus, j’ai écrit « comment être plus positif toute l’année ? ». (version vidéo). Dans le présent post, je vous propose de nous concentrer sur la définition claire et réaliste de l’objectif. Et de passer en revue les différents critères incontournables pour que l’objectif soit tenable tout au long de l’année.

II. Un bon objectif doit être « SMART »

Brutalement, je vous l’annonce, un bon objectif est un objectif « smart », de l’anglais dont le sens premier est « intelligent ». Mais au-delà, il s’agit d’un acronyme :

« S » pour « Spécifique ». Qualité première donc de votre objectif.
« M » lui, donne une dimension « Mesurable ». Impossible de tenir l’objectif si vous ne pouvez en mesurer l’évolution.
« A » pour « Adapté » (certains disent aussi « Atteignable »). Il doit donc être cohérent avec votre personnalité et les moyens dont vous disposez.
« R » pour « Réaliste ». Faut pas non plus espérer devenir pivot d’une équipe de basket si vous mesurez 1,70 m ou gravir l’Everest si vous êtes essoufflé après 1 kilomètre de plat. Bref, de l’ambition mais du réaliste, s’il vous plait !
« T » pour « Temporel ». C’est la caution d’organisation de l’acronyme. Celle qui vous pousse à programmer des temps de passage dans la poursuite de l’objectif.

La méthode SMART, idéale pour définir son objectif

III. Les 10 critères efficaces pour définir son objectif

1. Critère n°1 pour définir son objectif

Selon le premier critère, l’objectif doit être « explicite ». Présentez votre « produit » à une tierce personne pour vous assurer que sa définition est compréhensible.

2. Critère n°2 pour définir son objectif

En 2, votre objectif doit apporter rapidement des résultats. Ainsi, la réalisation complète de l’objectif peut prendre plusieurs années, mais la construction doit vous fournir des résultats visibles et quantifiables au bout de quelques semaines. En tout cas, durant la première année. Il est utopique de poursuivre un objectif sans retour rapide et de rester motiver. La solution peut être d’opérer des sous-objectifs intermédiaires.

3. Critère n°3 pour définir son objectif

Le 3 s’attache à la nature « vérifiable » de l’objectif. Il faut s’assurer qu’il est conforme à ce que vous voulez mettre en place.

4. Critère n°4 pour définir son objectif

Ensuite, le point 4 nous ramène à la notion d’ « échéances » et de vérification à certains temps de passage. Dans « comment rester motiver toute l’année ? », je vous expliquais déjà qu’un objectif majeur devait se construire grâce à des sous-objectifs. Chacun d’entre eux doit aussi avoir des échéances et un terme.

5. Critère n°5 pour définir son objectif

« Spécifique et personnel » pour le critère 5. C’est-à-dire que cet objectif ne fonctionne que pour et par vous. Il faut faire en sorte qu’il vous soit spécifique et parfaitement adapté.

Définir son objectif : un objectif doit être SMART

6. Critère n°6 pour définir son objectif

En 6, par « réalisable et réaliste », on revient sur le « R » de l’approche SMART. Si vous espérez devenir astronaute et que vous avez déjà 40 ans… C’est pas gagné ! Tandis que vivre de sa musique, pour me prendre en exemple, est parfaitement réalisable.

Mais, je suis réaliste. Devenir le nouveau ponte du Rock / Métal international est une utopie complète et ce n’est pas mon objectif.

Définir son objectif de manière réaliste : devenir astronaute à 40 ans n'est pas réaliste...

Espérer devenir astronaute quand on a déjà 40 ans n’est ni réaliste, ni réalisable.

7. Critère n°7 pour définir son objectif

« Ambitieux » est le qualificatif du 7^e critère. Vous devez, bien entendu, garder les pieds sur terre (excellente transition après l’astronaute !), quant à l’aspect réalisable du projet, mais conserver une part non négligeable d’ambition. Elle vous tire vers le haut dans sa recherche et vous maintient en pleine motivation.

8. Critère n°8 pour définir son objectif

Critère 8 : les points de suivi. Pour cet aspect, je recommande l’aide d’un coach ou d’un expert. Si vous êtes chanteur, ce sera un coach vocal. Guitariste ou pianiste ? un prof de la spécialité. Ce coach est votre référent. C’est lui qui sait où il doit vous emmener, et où vous vous trouvez sur le chemin à l’instant T. Son impartialité est garante de votre progression.

Si d’ailleurs vous souhaitez un coach pour atteindre les objectifs que vous vous êtes fixés, je vous invite à cliquer ici. Que ce soit dans le milieu artistique, musical ou en développement personnel, je serai vous accompagné dans votre projet.

9. Critère n°9 pour définir son objectif

En 9, le critère « révisable ». C’est la possibilité de faire des mises à jour de l’objectif. Vous avancez et vous constatez que vous devez adapter votre démarche, votre progression, votre programmation, vos points de passage. Envisagez donc, une révision de la démarche, du délai de réalisation de certaines étapes, ou encore d’interlocuteurs ou de partenaires.

10. Critère n°10 pour définir son objectif

Pour finir, dixième et dernier critère, les objectifs doivent être peu nombreux. Idéalement un unique, que vous pouvez décliner en plusieurs sous-objectifs, dont le nombre doit aussi rester restreint.

IV. Pas convaincu ?

Mais, vous avez peut-être déjà tenté ce genre d’organisation. Sans succès. Et ma démonstration vous parait dénuée de sens. Vous avez tenté de perdre du poids ou de vous mettre à la guitare, mais vous avez cessé sur un constat d’échec. Alors, je m’adresse à toi, le porteur de ces échecs et je te regarde profondément dans les yeux pour te dire : change et évolue ! Car, il y a fort à parier que cette incapacité à atteindre un objectif est née d’un refus, plus ou moins conscient, de nouveauté et de changement.

Une notion de persévérance doit aussi être apportée, car tout ne peut pas réussir et se mettre en place facilement et en un claquement de doigt. Non, vous ne deviendrez pas un athlète de classe olympique en quelques mois seulement. Pas plus, vous ne vivrez pas de votre musique au bout d’un an non plus. D’où l’obligation de la mesurabilité de l’objectif et d’une programmation calibrée et réaliste.

Rome ne s’est pas faite en un jour !

Souvenons-nous que Rome ne s’est pas faite en un jour, mais étape par étape et brique par brique. La vie est longue, mais courte d’un certain point de vue, et tergiverser sans se lancer (procrastiner en somme) peut amener à se rendre compte un jour qu’il est trop tard pour tel ou tel objectif.

Rassurez-vous, je me mets dans le même panier que tout le monde. Ce n’est pas parce que je balance des vidéos et des compos sur mes sites ou ma chaine youtube qu’un producteur va débarquer et me proposer le contrat du siècle. Et oui, je démarche, je créé d’autres contenus, sur d’autres supports, avec des partenaires divers et variés. Je recommence. Je me remets en question, je change de portage. J’analyse, j’abandonne une direction, j’ouvre une autre porte etc…

V- La volonté de changer et d’évoluer

Y’a pas de secret. Plutôt que de se lamenter et se dire « je suis un poissard… J’arrive à rien dans la vie… tout ce qui m’arrive c’est de ma faute… » ; et là je dis oui ! Tout ce qui t’arrive est bien de ta faute. Aïe ! la volonté de changer tout ça. Change et évolue.

J’ai une anecdote perso sur le sujet au boulot ou la plupart des gens sont au courant de mes activités périphériques. Un collègue me rappelle mon post sur la positivité et cherche à me coincer sur le fait que je ne dise pas bonjour à un mec en particulier. Il se trouve que ce gars ne disait pas bonjour dès le début de notre relation et j’ai fini par cesser de le saluer. Et je réponds « non, « très cher collègue », je suis bien raccord avec ma théorie !

Il n’y a rien dans ce gars mal poli qui me permettra de changer ou d’évoluer en mieux, et il est peine perdue de chercher à le faire changer ou évoluer ». Donc, je ne perds pas mon temps et je passe à autre chose. Je reste focus sur mon objectif, que j’ai choisi et clairement défini, et qui est Spécifique, Mesurable, Adapté, Réaliste et Temporel.

Une fois qu’on a mis en place son objectif de façon SMART, qu’on a compris qu’il faut, si nécessaire, évoluer et changer pour atteindre l’objectif, l’année partira sur les chapeaux de roues.

VI. RDV dans 21 jours pour changer et évoluer

21 jours pour changer ou créer une habitude

Je vous renvoie vers l’encadré ci-dessous sur les délais de réalisation de 21 jours que je cite souvent. A partir du moment ou la décision est prise, il nous faut 21 jours pour mettre en place de nouveaux objectifs. 21 jours pour adopter une nouvelle façon de réfléchir et de s’adapter à la situation. 21 toujours pour changer et évoluer. A vous de jouer et d’éveiller l’objectif SMART qui dort en vous.

Pourquoi 21 jours de pratique ?

C’est une indication scientifique. Il est admis qu’une cellule du corps humain se renouvelle en 21 jours. On estime, par extension, qu’une habitude ou une pratique nécessite ce même délai de mise en place. Accordons-nous donc 21 jours de respect scrupuleux de nos 10 critères pour définir un objectif SMART digne de ce nom !

VII- Pour aller plus loin…

Si vous souhaitez aller plus loin, je vous propose une séance de 30 min de coaching gratuit. Vous pourrez me poser toutes les questions que vous souhaitez sur toutes les problèmatiques que vous rencontrez. Par la suite, nous pourrons convenir d’un coaching périodique afin de vivre un jour de votre musique.

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Voir aussi : « Comment vivre de sa musique ?«

Voir aussi : « Comment rester motivé toute l’année ? »

Mais aussi : « Comment être plus productif ?«

Comment être plus positif ?

Comment être plus positif ? (mes 5 techniques pour développer la pensée positive en 21 jours !)

Dans sa quête d’absolu et d’inspiration, l’artiste doit être en pleine possession de ses moyens créatifs. Il lui faut un maximum de pensées positives pour composer, écrire et finalement concevoir des chansons. Pourtant, quotidiennement nous subissons plutôt l’assaut de pensées négatives : « je suis incapable de faire ça, je suis nul, je n’arriverai jamais à rien de bon»… Nous pouvons même finir par être convaincu de ne pas être quelqu’un de bien.

Dans la pratique, nous ne contrôlons pas nos pensées qui alimentent nos peurs, polluent nos émotions, nos comportements et notre façon d’être. Mais, tout ceci est incompatible pour la recherche de notre graal et l’atteinte de nos objectifs ou la poursuite de nos rêves. Inondé(e)s de pensées négatives, la clairvoyance nous fuie et nous sommes incapables d’identifier les solutions d’amélioration. Au contraire, la positivité nous aide à être plus créatif et à prendre du recul même dans l’adversité ; les solutions aux problèmes sont plus facilement acquises.

Je viens, en quelques lignes, de le démontrer, il est indispensable de mettre en œuvre des techniques pour avoir des pensées positives. Si, vous aussi, êtes régulièrement en proie aux affres citées précédemment, alors lisez attentivement les propos suivants dans lesquels je vous livre 5 techniques majeures pour développer une pensée positive en 21 jours.

Préambule : modèle de pensée négative

Un peu de psychologie de bas étage. Notre cerveau, du moins son fonctionnement, se compose de deux éléments majeurs : le conscient et l’inconscient. Ainsi, le premier pilote seulement 10% de tout ce que nous entreprenons quotidiennement. Le second est à la barre des 90% restant. Nous imaginons à tort piloter l’essentiel de notre activité. Archi faux. Le moi ne subordonne, évidemment pas le sur-moi, et l’inconscient est le vrai patron de notre psychisme. En conséquence, les idées noires ou les rêves du même domaine, entrainent doutes, craintes et peurs. C’est la concrétisation de croyances toxiques.

Comment être plus positif ? Un tutoriel par D. WEX Music : le modèle de la pensée négative

La période tragique que nous vivons en 2020 avec force terrorisme et moulte COVID 19, vient malheureusement étayer ces propos. Les relances permanentes des médias, les positions ou polémiques des partis au pouvoir et des opposants sur ces sujets sont des sources intarissables du négativisme. Il nous prend littéralement à la gorge et nous maintient en état de doute, crainte, peur et de croyance…

C’est la raison pour laquelle, il faut lutter et se sortir de ces idées négatives pour rester focus sur l’objectif, qui est pour nous, de vivre de la musique (allez jeter un oeil également à l’article présent sur ce blog).

Autre situation qui s’impose sans qu’on puisse aller à l’encontre : le sens du vent. Impossible d’aller contre. Néanmoins, nous pouvons ajuster nos voiles, surface et position. Eventuellement, tirer des bords s’il faut remonter au vent, pour finalement nous rendre là où nous souhaitions aller. Voilà ce qu’est une pensée positive.

Pourquoi 21 jours de pratique?

C’est une indication scientifique. Il est admis qu’une cellule du corps humain se renouvelle en 21 jours. On estime, par extension, qu’une habitude ou une pratique nécessite ce même délai de mise en place. Attendez donc 21 jours de respect scrupuleux de mes 5 techniques avant de tirer des conclusions hâtives!

I- Technique 1 : avoir un mental positif

Bon… Celui qui pense que je dis que pour être positif il faut être positif, tu sors…

Comment être plus positif ? Un tutoriel par D. WEX Music : ne pas avoir d'idées noires

En effet, j’ai une paire d’arguments tout de même. Il s’agit très sérieusement de se donner confiance en utilisant des mots issus du champ lexical de la positivité. Stop à l’autoflagellation ! Cessez de vous dire que vous êtes nul(le) dans le constat de vos manquements. Ajouter le mot « encore » à la phrase « je n’arrive pas à faire ça ». Ça donne « je n’arrive pas ENCORE à faire ça ». Ça vous laisse une marge de progression.

Ainsi, votre inconscient n’ira pas à l’encontre de votre pensée qui fait de vous le dernier des derniers, car celui-ci ne veut que votre bien. Il croira bien faire en vous alimentant de ce qu’il pense être votre préférence : avoir des pensées noires et désagréables.

Chassez vos idées noires : il vous appartient de l’éduquer et de le nourrir correctement.

II- Technique 2 : appréciez-vous !

Comment être plus positif ? Un tutoriel par D. WEX Music : appréciez-vous.

Remémorez-vous les actions que vous jugez positives, les choses biens que vous avez réalisées ou menées à terme avec succès dans votre vie, cette année ou hier.

C’est tout bon, mais vous ne vous en rendez plus compte. Ramenez tout ça à la surface.

Placez-vous devant un miroir, l’impact est plus fort, et clamez ces actions sous forme de liste. Gratifiez-vous de ces réussites. Le profit est l’augmentation de la confiance en soi par action sur l’inconscient.

Rappelez-vous, c’est lui qui conduit !

III- Technique 3 : avoir conscience de vos pensées négatives

Comment être plus positif ? Un tutoriel par D. WEX Music : ne faites pas l'autruche

En effet, il faut être conscient que vous avez des pensées négatives. Le contraire consisterait à faire l’autruche et à verser dans le déni. Appréhender les pensées négatives et leur ressenti doit autant être pris en compte que les pensées positives.

L’idée directrice est d’être en capacité d’analyser ou de mettre à jour le mécanisme et les situations qui vous portent dans le monde sombre de la négativité. L’opération consiste à prendre conscience du processus et de l’identifier pour l’éradiquer.

IV- Technique 4 : Trouver le bon côté de chaque situation

C’est évident ! Tout le monde le sait. Mais, qu’est-ce que c’est compliqué à faire ! J’éprouve, moi-aussi, les pires difficultés à maitriser cette technique d’une évidence enfantine. Quand on est en mode « pourquoi ça m’arrive… qu’est-ce que j’ai fait pour que ça me tombe dessus… » on oublie facilement les fondamentaux. Or, je reste persuadé que les choses n’arrivent pas par hasard. Pareil pour les rencontres. Bonnes ou mauvaises, les personnes que vous côtoyez sont inscrites dans cette logique. « Ce qui arrive doit arriver », ou « je ne perds jamais, soit je réussis soit j’apprends », il y a un grand nombre d’adages sur le périmètre et cette philosophie doit vous inspirer.

Même si votre chef est fortement antipathique, dites-vous qu’il y a une bonne raison pour qu’il soit sur votre chemin, comme mettre en évidence quelque chose chez vous qui doit être amélioré. Ou pas ! Le malotru peut vous aider à prendre conscience que ce qu’il vous reproche ne mérite aucune critique. Idem côté cœur. Dans la même veine, une désillusion sentimentale, aussi douloureuse soit-elle, peut vous faire comprendre que ce partenaire-là n’était pas le bon et que votre quête de l’âme sœur est toujours en cours. J’insiste, on ne rencontre pas les gens par hasard, on ne les quitte ou ils ne nous quittent pas, non plus, par hasard. Un cap doit être franchi et vous devez vous améliorer. Donc, restez concentré(e) sur le bon côté de la situation et continuez à avancer.

VI- Technique 5 : s’entourer uniquement des bonnes personnes

Comment être plus positif ? Un tutoriel par D. WEX Music : entourez vous uniquement des bonnes personnes et fuyez les autres

La cinquième et dernière technique repose essentiellement sur votre libre choix. Gardez dans votre environnement uniquement des bonnes personnes et fuyez comme la peste les gens négatifs. Alors, certes ! J’ai dit, il y a quelques lignes, qu’on ne rencontrait pas les gens par hasard. Je maintiens. Il vous faut faire le tri. Et il est bien entendu qu’au boulot on travaille et qu’on y va pour se faire des amis. A vous de faire fi de l’invective du boss et des collègues, et de considérer comme apport négligeable leur action dans votre environnement.

Retenez surtout que vous êtes la moyenne des 5 personnes que vous voyez de manière concrète et efficace dans la journée. Si vous ne voyez que des gens négatifs dans votre voisinage, au boulot, dans les transports en commun ou ailleurs, vous finirez par faire corps avec cette sombre spirale. Vous serez tête basse régulièrement et le levé du matin sera de plus en plus dur. Vous serez aigri(e) et de mauvais poil en permanence.

Inversement les personnes au rayonnement positif, celles avec qui vous souriez, avec qui vous plaisantez facilement, sont celles dont vous devez vous entourer. C’est d’une importance fondamentale. J’ai mis du temps à comprendre cette dynamique. J’ai d’abord essayé de changer les gens, en vain ; c’est impossible. Au boulot, je ne me retrouve qu’avec des gens aux idées et aux visions positives et j’applique la maxime de référence : « loin des cons l’air est pur ! ».

VI- On résume

Tentez cette méthode pendant 21 jours. Fuyez le bruit, les transports en commun (si possible bien sûr) et les sources d’information. On ne peut pas positiver en écoutant en boucle les chaines d’info qui ne parlent que du « vilain » COVID qui nous tue et des « méchants barbus » qui coupent des têtes. Vous allez forcément péter une durite et empiler les mauvaises pensées jusqu’à en rêver. Et du coup : doute, crainte, peur et croyance… Et c’est le cercle infernal, puisque l’inconscient s’alimente de la situation.

Comment être plus positif ? Un tutoriel par D. WEX Music : 21 jours pour changer une habitude

En résumé, on mérite la vie que l’on mène en mal comme en bien, et il n’est pas question de laisser les pensées négatives prendre le dessus dans la recherche permanente de l’objectif suprême que l’on s’est fixé. Rendez-vous dans 21 jours !

N’hésitez-pas à me communiquer sur ce blog vos propres méthodes d’amélioration par le positivisme. Le sujet est d’importance et m’intéresse particulièrement.

Pour aller plus loin, je vous propose une séance de coaching OFFERT de 30 min. Vous pourrez ainsi me poser toutes les questions que vous voulez ainsi que les problématiques que vous rencontrez. Par la suite, nous pourrons convenir d’un coaching périodique afin de que vous puissiez un jour vivre de votre musique :

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Ne lâchez rien.

A bientôt…

D. WEX

Comment être plus productif ?

Comment être ou devenir plus productif quand on passe toute la journée au boulot, alors qu’on souhaite développer son projet d’avenir et qu’on rentre à 19h00 chez soi ? Vous ne savez pas par où commencer, vous n’avez que le week end ou un bout de celui-ci pour vous y mettre et, de fait, le temps est compté.

**Des hacks* et des actes**

Dans cet article, je vous propose des solutions pour aider votre organisation par la mise en application de hacks, que j’utilise moi-même et que j’ai appris durant mes études, de façon à être beaucoup plus productif ; ça peut vous servir dans votre vie professionnelle aussi, si vous êtes en quête d’amélioration.

I – Hack 1: la règle des 2 minutes

La règle des 2 minutes : indispensable pour être productif.

Il concerne les tâches dont la réalisation demande un temps très court. Idéalement de 2 minutes maximum, mais le hack est applicable si la durée est supérieure, il reste de l’ordre de quelques minutes. L’idée est de traiter cette tâche tout de suite, immédiatement et sans délai. Inutile de laisser trainer ou de remettre à plus tard. Le risque est de créer des soucis parasites et d’influer négativement votre mind set.

Faites tout de suite les tâches que vous pouvez absorber rapidement et qui risquent de vous gêner. Attendre, apportera du stress et grossira votre liste des tâches à faire. Alors l’excuse « j’ai plein de tâches qui durent 2 minutes, tu ne te rends pas compte ! » n’est pas recevable. Pour être plus productif, il suffit de planifier dans votre agenda la période que vous allez consacrer à la réalisation des courtes tâches.

II – Hack 2: tenir un agenda

Conséquence, vous planifiez votre semaine ou votre journée. Le soir à partir de 19h00 je fais ceci et cela ; le lundi c’est plutôt ça ; le mercredi je me réserve cela ; ce week end, c’est ce machin qui est prévu, tandis que pour le suivant ce sera ce truc… Bref, un agenda ! Ne restez pas avec des tâches à faire uniquement stockées dans votre tête. C’est mal ! Ecrivez-les sur un post-it au pire pour éviter de les oublier et évacuer du stress sur l’ensemble des tâches que vous avez à faire.

L'agenda est un outil indispensable pour rester productif.

Maintenant, pour être encore plus productif, vous ne devez pas oublier de rêver…

III – Hack 3: apprenez à rêver

Vous avez bien lu, je dis « rêver ». A l’école ou à la maison, quand vous étiez petit, vous vous êtes surement entendu dire « Arrête de rêver, ça sert à rien, concentre toi sur le factuel et sur les choses concrètes de la vie : rêver c’est pas bien !… ».

Ne t'arrête jamais de rêver pour être productif.

Mais réfléchissons (à défaut de rêver pour le moment)… Sans les rêveurs pas d’automobile, pas d’avion et on ne serait jamais allé dans l’espace, ni sur la lune non plus. Sans rêveurs, pas de modernité, pas de création ! Le monde se divise en deux catégories (voir le bon, la brute et le truand, par Sergio Leone 1966) de personnes. Les consommateurs d’un côté, public passif. Les créateurs de l’autre : les actifs. Les premiers restent statiquement en bas de l’échelle sociale, au contraire des seconds dont l’accession à la richesse est probable.

Vous vous sentez l’âme d’un producteur ou d’un créateur? Mais vous êtes actif alors ! Laissez-vous donc rêver. Oublier les anathèmes subis depuis l’enfance par le système ou l’éducation nationale et laissez libre court à votre imagination. Attention, le réalisme est de mise tout de même. Il ne s’agit de rêver courir tout nu dans la nature, mais de possibilités concrètes. Demandez-vous ou vous en serez de vos projets dans 1 an, 5 ans voire 10 ans. Personnellement, je rêve de pouvoir vivre de ma musique depuis un bon moment. A force de me persuader de cette réalité, et de mettre bout à bout des éléments réels de réussite, je concrétise mon rêve petit à petit.

IV – Hack 4: avoir des objectifs

Votre rêve est visualisé ? Parfait. Phase suivante : des objectifs tu te fixeras. Mais le sous-entendu important de cette mise en objectif est la planification.

Se fixer des objectifs pour être plus productif

Retournez d’abord voir mon article ou ma vidéo « comment rester motivé ». Pour rappel, ces objectifs doivent être concrets et réalistes. Vous pouvez d’ailleurs vous focaliser sur un seul objectif pour ne pas vous disperser. Celui-ci peut cependant se composer d’un certain nombre de sous-objectifs. Je me reprends en exemple : mon objectif est donc de vivre de ma musique.

Mais pour l’atteindre, je mets déjà en œuvre plusieurs sous-objectifs ou produits. Je fais des compositions originales (« Look at me »), je fais des covers (« Bohemian rhapsody » ou «The unforgiven II»), des clips, des vidéos YouTube (« comment écrire une chanson« ), j’anime quotidiennement mon site internet… je réalise et crée donc des productions diverses et variées. J’élabore aussi des business plans pour générer des revenus (télécharger cet ebook pour savoir comment je fais), car je ne suis pas encore en mesure de vivre totalement de ma musique et quitter définitivement mon emploi. Tous ces sous-objectifs convergent vers mon objectif ultime.

V – Hack 5: le travail en temps masqué

Le travail en temps masqué : indispensable pour augmenter sa productivité.

Bon… Là, vous pourriez me dire que c’est conjoncturel, mais ça n’a rien à voir avec la situation sanitaire. D’autant, que quoi qu’en disent certains scientifiques, le masque empêche une ventilation normale des voies aériennes et donc du cerveau. J’aurais donc tendance à penser que le port du masque n’est pas propice à la réflexion ou la création, mais en aucun cas à être plus productif.

Plus sérieusement, j’ai acquis cette technique du travail en temps masqué en école d’ingénieur. C’est très utilisé dans l’industrie automobile. Il s’agit de réaliser plusieurs sous-tâches pendant le déroulement d’une tâche principale plus longue, mais incompressible et incontournable… Je sens bien que j’en ai perdu quelques-uns…

Je formalise : je me lève le matin avec l’objectif de ne pas perdre de temps pour ne pas être en retard au boulot. Il me faut 2 minutes pour préparer mon jus d’orange, mon bol de céréales et quelques agapes. Mais le chauffage seul de l’eau pour mon thé me prend aussi 2 minutes.

Donc, si je commence par rassembler ce que je vais manger et qu’ensuite, seulement, je mets l’eau à chauffer, l’ensemble me ponctionnera 4 minutes de mon temps (2 + 2 pour les soupçonneux adeptes de la théorie du complot). Alors que si je commence par mettre l’eau à chauffer, qui est une action dont la durée est incompressible (je ne peux pas l’accélérer), et que je rassemble ma sustentation pendant le temps de chauffe, le temps total consommé sera de 2 minutes (2 + 0). Et nous sommes tous d’accord pour dire que nous sommes tous à la minute près le matin ! C’est ça le travail en temps masqué.

Si vous êtes entrepreneur, et que vous ne connaissez pas le principe, je vous assure que vous gagnerez énormément de temps avec celui-ci.

VI – Hack 6: la règle des 80/20

La règle des 80 / 20 de Pareto : outil indispensable pour être plus productif.

C’est la loi dites de Pareto (Vilfredo Pareto – 1848-1923, économiste italien). Le concept est de concentrer 20 % de vos efforts sur 80 % de résultat. Et non pas le contraire, 80% d’effort pour 20 % de résultat. Bien entendu, il faut se focaliser sur les tâches prioritaires de son objectif. Une bonne maitrise de la technique est un atout certain dans la quête finale.

VII – Hack 7: le clean desk

Né des techniques de management américains des années 80, le clean desk consiste à ranger et ordonner son bureau tous les soirs et avant le départ en weekend. Le but n’est pas de faciliter le travail des techniciens de surface. Une étude de l’époque démontre que l’esprit humain est beaucoup plus productif lorsque l’environnement de l’individu est rangé, propre, clair et sain.

Le clean desk vous assura d'être plus productif.

En effet, l’esprit ne sera pas immédiatement opérationnel, si, en pénétrant dans son bureau, l’individu est face à des piles de dossiers désordonnées, des ustensiles de bureau dispersés çà et là, des boulettes de papiers chiffonnés à côté de la corbeille. La mise en route du sujet sur son activité professionnelle est largement compromise.

Inversement, une table de travail immaculée et des stylos proprement alignés dans leur réceptacle est une situation génératrice d’une atmosphère propice à la concentration et à une mise en action intellectuelle rapide. Pareil à la maison.

Vous rentrez le soir chez vous et vous tombez sur la pile de vêtements sales ou pas repassés, la montagne de vaisselle dans l’évier et les cartables des enfants au milieu du couloir. Vous êtes forcément face à un obstacle qui enfreint votre motivation pour vous atteler à la poursuite de votre projet. Apprenez à systématiquement, ranger, classer, rapidement nettoyer votre environnement. Ne conservez sur votre bureau que votre ordinateur prêt à l’emploi pour un rapide retour vers l’atteinte de votre objectif.

VIII – Hack 8: se couper des sources de distraction

Pour être efficace dans la poursuite de votre projet, vous devez, au moment de travailler sérieusement à celui-ci, isoler votre esprit de toutes sources de distractions extérieures ou de dérangement.

Différence source de distraction qui peuvent vous empêcher d'être productif

Lorsque je travaille à la réalisation d’un article ou d’une vidéo YouTube, je m’enferme dans mon studio, je coupe mon téléphone, je ferme ma maison, les enfants ne sont pas présents, je ne suis pas joignable par e-mail ou quelle autre source que ce soit. Tout est coupé : je suis à 100 % concentré sur la réalisation de la vidéo et même plusieurs vidéos consécutivement de manière à réserver mes prochains weekend à d’autres tâches utiles à mon projet.

Voilà, fin du conseil du jour en espérant que cette liste de hacks vous permettra de devenir, comme moi, plus productif rapidement.

* En programmation, le hack est une solution rapide et bricolée pour contourner un problème.